Mathieu Labey, l’un des deux co-fondateurs de Wheelskeep l’explique ainsi : « L’entreprise est partie de ce constat très simple. Pour que les citoyens aient envie d’utiliser leurs vélos, il faut pouvoir le sécuriser le temps de son activité ». Il ajoute « aussi, avec l’essor des vélos à assistance électrique, le cycliste se retrouve vite encombré de son casque, de sa batterie, ce n’est pas très pratique ».
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